Quiz de mi-session niveau 2

1. Quelle est la différence entre l’état de cohérence cardiaque et l’état de relaxation?

La relaxation est un état d'activité parasympathique plus élevé, alors que la cohérence se caractérise par une activité à la fois sympathique et parasympathique, créant un état à la fois calme et alerte.
Il n’y en a pas, l’état de cohérence cardiaque est un état de relaxation.

2. Vrai ou faux? Même sans concentration mentale sur le rythme respiratoire, la génération intentionnelle d’un état émotionnel positif sincère permet à l’état de cohérence d’émerger et de se maintenir naturellement.

Vrai
Faux

3. En quoi les techniques d’impact peuvent-elles être utiles dans le coaching de la préparation mentale? Sélectionne toutes les réponses qui s’appliquent. (Il y a 2 bonnes réponses.)

Pour permettre à l’athlète de se défouler et d’exprimer une émotion intense.
Pour rendre les stratégies d’intervention du coach plus concrètes et efficaces.
Pour stimuler un plus grand nombre de régions du cerveau (les aires motrices, visuelles, auditives et kinesthésiques) et ainsi permettre à l’athlète d’accéder à de nouvelles informations.

4. Parmi les réponses ci-dessous, sélectionne les principes de coaching qui favorisent l’apprentissage, énoncés par Danie Beaulieu dans son livre « Techniques d’impact en classe ». (Il y a 3 bonnes réponses.)

Utiliser des images plutôt que toujours des mots.
Adopter une approche multi sensorielle dans le coaching.
Donner de nombreuses explications verbales.
Donner ou faire vivre des exemples concrets.
Ne laisser transparaître aucune émotion lors du coaching.

5. L’activité de la comparaison entre la meilleure et la pire performance est un exercice très utile en préparation mentale sportive. Pourquoi? Sélectionne toutes les réponses qui s’appliquent. (Il y a 2 bonnes réponses.)

Il permet à l’athlète d’identifier ce qui a causé la moins bonne performance.
Il permet à l’athlète de prendre conscience des paramètres spécifiques de son état d’esprit idéal pour performer.
Il permet à l’athlète de « visualiser » son état d’esprit idéal et de s’entraîner à le reproduire au besoin.

6. Pour transformer son discours interne, l’athlète peut utiliser des affirmations yin ou des affirmations yang. Parmi les réponses ci-dessous, sélectionne les affirmations yin. (Il y a 3 bonnes réponses.)

J’ai confiance en ma valeur et mes capacités.
Je suis important(e) dans mon équipe.
Je suis un(e) gagnant(e).
Tu es unique et spécial et je suis là pour toi.
Je suis extrêmement rapide.

7. Parmi les réponses ci-dessous, sélectionne les affirmations yang. (Il y a 3 bonnes réponses.)

Je suis prêt(e) et je suis capable.
J’ai de la valeur, quelle que soit l’issue de la compétition.
Je surmonte tous les obstacles.
Je sais que je vais réussir.
Je m’aime et je me donne la permission d’être différent(e).

8. Quel(s) exercices pourrais-tu faire faire à tes athlètes pour les aider à transformer leur discours interne? (Il y a 3 bonnes réponses.)

Apprendre à devenir son/sa meilleur(e) ami(e).
Créer des affirmations avec des mots puissants, en fonction des ressentis.
S’entraîner à entrer dans la bulle pour demeurer concentré(e).
Aider l’athlète à recadrer ses pensées

9. Sélectionne trois techniques de recadrage présentées durant le cours.

Le recadrage de sens
Le recadrage de niveau
Retourner l’intention
Le recadrage de contexte
Le recadrage de perception

10. Quelles sont les étapes générales qui permettent de modifier une croyance limitante? Sélectionne toutes les réponses qui s’appliquent. (Il y a 5 bonnes réponses.)

Identifier la croyance.
Choisir une nouvelle croyance.
Répéter des affirmations en lien avec la nouvelle croyance.
Choisir un outil pour modifier la croyance.
Se placer dans un état de suggestibilité élevé.
Utiliser l’outil pour intégrer la nouvelle croyance.
Écouter une musique inspirante pour se donner confiance.

11. La technique du contre-exemple est un outil efficace pour modifier rapidement des croyances limitantes. Peux-tu expliquer ce qu’est cette technique?

Il s’agit de construire et de répéter des affirmations qui sont à l’opposé de ma croyance.
Il s’agit de trouver un exemple, soit dans l’histoire personnelle ou chez d’autres athlètes, qui prouve que la croyance n’est pas toujours vraie et que ce que l’on croit impossible est possible.
Il s’agit de revoir une situation difficile (ex. lorsque je commets une erreur) et d’imaginer que la situation s’est passée différemment.

12. Qu’est-ce que le focus divergent?

C’est l’attention focalisée vers un objet qui se trouve à l’intérieur ou à l’extérieur de soi.
C’est lorsque notre champ de vision rétrécit pour diriger toute l’attention vers un danger ou une menace.
C’est adopter un focus où l’on élargit le champ d’attention, comme une caméra qui « zoom out », qui recule pour obtenir la vision d’ensemble.

13. À quoi sert le focus divergent?

À atteindre un état de concentration maximale et de vigilance accrue.
À ralentir les ondes cérébrales et le néocortex pour atteindre des états de conscience alpha ou thêta, et augmenter le niveau de suggestibilité.
À analyser et résoudre un problème complexe pour faire progresser la performance.

14. Un athlète qui démontre un niveau de confiance variable a tendance à tourner son regard ____________ pour déterminer son niveau de réussite.

Vers les autres : il cherche à connaître l’opinion des autres par rapport à sa performance.
Vers lui-même : il forge sa propre opinion par rapport à sa performance.

15. Quels sont les avantages à tourner le regard vers soi? Sélectionne toutes les réponses qui s’appliquent. (Il y a 3 bonnes réponses.)

C’est l’athlète qui détermine lui-même sa propre méthode d’évaluation.
Cela permet d’obtenir de nouvelles perspectives et façons de voir la performance.
La rétroaction est plus constante, car toujours basée sur les mêmes paramètres.
L’athlète cesse de donner son pouvoir aux autres et reprend son propre pouvoir.

16. Quels sont les trois niveaux de la confiance, selon la pyramide proposée par Frédéric Fanget?

L’affirmation de soi
La valorisation de soi
L’estime de soi
La confiance en soi
La perception de soi

17. Quand on parle de confiance en soi, on peut imaginer une balance à deux plateaux et un rapport entre deux paramètres. Quels sont les deux paramètres de la confiance en soi?

Les pensées positives et la connaissance de soi
Les attentes et les capacités
Les exigences et la bienveillance

18. Les énoncés ci-dessous sont des stratégies pour aider l’athlète à augmenter le niveau de confiance et réduire la pression en sport. Une de ces stratégies n’est pas optimale pour favoriser la confiance et la performance. Laquelle?

Réviser les attentes et les ajuster si elles semblent irréalistes.
Prendre en compte les attentes des autres pour établir les objectifs.
Développer de nouvelles compétences.
Modifier la perception pour augmenter le niveau de confiance en ses capacités.

19. Une joueuse de baseball avec un état d’esprit Héros a très peur de commettre des erreurs en match et se parle très durement lorsque cela se produit. Elle devient alors rapidement découragée et perd sa combativité. Parmi les activités ci-dessous et en fonction de son état d’esprit spontané, laquelle pourrait être la plus efficace pour l’aider à performer en confiance?

Un exercice pour construire son identité d’athlète – ses valeurs, ses forces et ses objectifs, qui lui permettra de mieux se connaître et apprécier sa valeur.
Un exercice pour construire une affirmation yang ou dynamisante, qui lui permettra de retrouver sa combativité.
Un exercice d’observation d’une athlète qu’elle admire qui lui permettra de réaliser que même les meilleurs commettent des erreurs, puis pratiquer la visualisation théâtrale en s’imaginant devenir cette athlète.

20. Quelles sont les attitudes mentales qui favorisent la combativité? Sélectionne toutes les réponses qui s’appliquent. (Il y a 3 bonnes réponses.)

Accepter que la défaite et l’erreur font partie processus.
Devenir plus perfectionniste.
Développer la conviction que l’on est compétent(e), quel que soit le résultat du jour.
Chercher à éviter les erreurs.
Focaliser l’attention sur ce que l’on veut accomplir, et non sur ce que l’on veut éviter.
Chercher à contrôler les événements et le résultat.

Quiz de mi-session Tactique Samouraï Niveau 2

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